Je m'appelle Johan, je suis né en 1982, j'habite en Haute-Savoie où j'exerce le passionnant mais difficile métier de professeur des écoles.

Depuis presque toujours, en tout cas aussi loin que je me souvienne, je suis passionné de jeux vidéo, de cinéma, d'écriture et de musique (que je ne pratique pas). Plus récemment, je me suis découvert un goût prononcé pour la photographie, même si je suis encore novice dans ce domaine et le tchoukball, sport peu connu mais très fédérateur, dérivé du hand et du volley. Pendant mes années de lettres à l'université, j'ai aussi redécouvert le goût de la lecture. J'entretiens tout de même un paradoxe : si j'adore écrire, il faut bien dire que je ne suis pas un très grand lecteur.

L'écriture

Mon activité d'écriture remonte à loin. Je ne saurais pas dire exactement à quand. Avant de faire de cette passion quelque chose de concret récemment, j'ai longtemps rempli des pages et des pages d'histoires, souvent adaptées de jeux vidéo.

J'aime particulièrement inventer des univers ayant trait au fantastique, à l'horreur ou à la science-fiction. Plus que des livres, ce sont surtout des films et des jeux vidéo qui m'aident à leur donner corps. Bien sûr, il y a bien quelques livres importants pour moi, comme Solaris de Stanislaw Lem, 1984 de George Orwell ou Je suis une légende de Richard Matheson, mais il faudrait que je réfléchisse à une liste à peu près exhaustive.

Je me souviens particulièrement de nouvelles (ou fan-fictions, pourrait-on dire) adaptées de jeux vidéos comme Final Fantasy ou Silent Hill. C'est comme ça que tout a commencé... avec des histoires d'adolescent juste moyennes qui n'embarquaient guère que moi ou mes frères et sœurs.

Les jeux vidéo

Traiter des jeux vidéo n'est pas l'objet de ce blog, mais c'est une source si importante d'inspiration pour moi que vous trouverez obligatoirement dans ces pages des références à la plus chronophage de mes passions. Mon héros d'enfance est le hérisson bleu Sonic (je l'ai connu en 1991). Et puis, les années passant, j'ai fréquenté d'autres univers et ambiances, et aujourd'hui je peux dire que les jeux les plus importants pour moi sont Final Fantasy, Silent Hill, Ico et Shadow of the Colossus et The Last of Us. Final Fantasy pour ce qu'il m'a apporté de goût pour les combats dantesques de héros contre l'adversité. Silent Hill pour m'avoir fait plonger en enfer et dans les affres du comportement humain (mention spéciale aux sublimes Silent Hill 2 et 3). Ico et Shadow of the Colossus pour leur poésie, leurs décors qui m'ont souvent poussé à poser la manette en plein milieu d'une partie, juste pour admirer. The Last of Us pour sa terrible histoire, sa musique, son ambiance, ses deux héros si fragiles, bref l'extase manette en main. Chose plutôt commune que de pleurer au cinéma, j'ai aussi pleuré devant ces jeux vidéo.

Le cinéma

Comment résumer en un paragraphe un art aussi florissant que le cinéma ? Depuis le temps que je vois des films, il y a bien des œuvres phares, mais quand je pense à toutes les pépites que je n'ai pas encore découvertes, il me vient un vertige. Mes films cultes sont La Liste de Schindler, Eternal Sunshine of the Spotless Mind, Mommy, Gladiator, The Fountain, Babel, le premier Matrix, Drive, Solaris (de Soderbergh), Metropolis, Vice-Versa. Mes réalisateurs fétiches ? Céline Sciamma, Quentin Tarantino, Stanley Kubrick, Darren Aronofsky, Alejandro Gonzales Inarritu, Danny Boyle... Là aussi, il me faudrait y réfléchir davantage, si toutefois il est possible de n'oublier personne. Une série culte ? Non, deux. Six Feet Under et The Leftovers.

Ce qui me passionne le plus au cinéma, c'est l'aspect visuel, le style... et l'émotion. J'aime avoir la gorge serrée devant un beau film, et sentir que je suis en train de glisser sans avoir compris comment ou pourquoi.

La musique

Ma passion pour la musique rejoint très régulièrement le jeu vidéo et le cinéma. J'écoute beaucoup de bandes originales de films et de jeux. A titre d'exemple, à l'heure où j'écris ces lignes, la superbe soundtrack de The Last Of Us, composée par Gustavo Santaolalla, m'accompagne. Pour le cinéma, un nom aurait tendance à dominer les autres : Max Richter.

De manière générale, je traque aussi l'émotion dans la musique. L'émotion sous toutes ses formes et accompagnements musicaux, celle qui me fait surgir des images mentales, qui me colle des frissons. Je m'emporte aussi bien pour les textes que pour la musique. Il faut que ce soit profond et puissant. J'aime (presque) tous les genres musicaux, et ce n'est pas une réponse toute faite.

Des noms d'artistes qui dominent dans mon cœur ? Oui : AaRON, Woodkid, Sia, Fauve, Nobuo Uematsu, Akira Yamaoka, Muse, Calogero... Et je vous refais le coup de la liste non exhaustive !